Il semble que cette pratique ne soit pas très respectueuse de notre environnement. Ces matières sont susceptibles de contenir différents hydrocarbures plus ou moins toxiques et d’autres résidus issus de la circulation automobile (Métaux lourds, amiante..). L’Isère, une source et la nappe phréatique ne sont pas très éloignées du site... On peut penser que cette forme de pollution concerne toutes nos routes, mais ici il y a un phénomène de concentration car il y a récupération des eaux provenant d’une grande surface de chaussée. D’autre part, d’après nos souvenirs, des engagements avaient été pris au sujet de la collecte des eaux de ruissellement lors de la création de cette déviation. Aussi Vivre en Tarentaise a-t-elle demandé à la Sous Préfecture de faire le nécessaire pour procéder aux vérifications qui s’imposent et introduire davantage de rigueur dans la gestion de ce type d’équipement.